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Avec Pierre Zylawski, des livres, des lectures, des gens... Bienvenue.

24 juillet 2016

Cocktail de lecteurs ravis.


SDL COUV RIFFLEJ'ai lu avec grand plaisir "Sorti de l'ombre". J'y ai retrouvé la générosité, l"humour et le sens de l'intrigue des oeuvres de Franck et Vautrin... Ca fait du bien de lire des romans simples mais bons... Votre roman a été pour moi comme une bouffée d'air frais printanier. Je me suis rapidement attachée à la triplette Cortina, et j'ai beaucoup apprécié les descriptions du Louvre, en particulier les pauses de silence... Je vous remercie pour ces bons moments... Judith L.

Vous m'aviez promis des nuits palpitantes, et je vous avoue qu'elles ne m'ont pas déçue ! Se retrouver projeté au beau milieu du Louvre, en pleine nuit, est une expérience assez fantastique, presque magique. Elle dégage aussi un soupçon d'interdit, puisque je ne pense pas pouvoir me mouvoir librement en pleine nuit dans les couloirs du Louvre, dans les années à venir... Il me suffisait de fermer les yeux pour ressentir les odeurs, revoir les pièces et les oeuvres accrochées aux murs... C'est donc prise d'une frénésie dévorante que j'ai englouti les quelques 300 pages, au lieu de réviser mes textes de français pour le bac... Je profite de ce message pour vous remercier de m'avoir consacré du temps au salon du livre, ce week-end. Une rencontre que je n'oublierai pas de sitôt.  Inès.

 

première-1647-pour-mourirJ'ai terminé la lecture de votre roman, et le premier mot qui me vient : bravo ! L'intrigue est bien ficelée, les rebondissements arrivent juste pour relancer le suspense, et vous avez réussi à traiter l'équipe d'enquêteurs avec justesse... J'ai particulièrement appécié. Ce serait une bonne base pour une version cinématographique. N'hésitez pas à me faire part de vos prochaines productions, et merci pour ce très agréable moment de lecture.  Eric L.

Lecteur du soir, "16.47 pour mourir" du même tonneau que "On l'appelait mamie", n'a pas résisté longtemps :  entamé mardi soir, et fini à l'instant, ce mercredi !  J'ai retrouvé le Maubeuge de mon enfance... même si Maubeuge n'est qu'un décor à cette histoire, cela me fait imaginer, visualiser ce que vous avez fort bien écrit et décrit. Les personnages sont attachants, et j'aimerais bien un troisième opus... A bientôt, dans un prochain salon du livre...  Pascal B.


 

 

 


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24 juillet 2016

Sympa, la médiathèque de Ruitz.


Ruitz-Zylawski

 

Ruitz

 

13 juillet 2016

Remy de Gourmont.


Denis Grozdanovitch termine son recueil sur un hommage à Remy de Gourmont, poète, écrivain, érudit, décédé en 1915.  Et chacun comprend qu'il lui voue un véritable culte.

Voici le poème de Gourmont Les feuilles mortes avec lequel Grozdanovitch clôt son ouvrage :

 

          Simone, aimes-tu le bruit des pas sur les feuilles mortes ?

          Elles font un bruit d'ailes ou de robes de femme.

          Simone, aimes-tu le bruit des pas sur les feuilles mortes ?

          Viens nous serons un jour de pauvres feuilles mortes.

          Viens ; déjà la nuit tombe et le vent nous emporte.

          Simone, aimes-tu le bruit des pas sur les feuilles mortes ?


 

 

 

13 juillet 2016

L'art difficile de ne presque rien faire.


A43777

Grozdanovitch

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avouez que le titre est capable, à lui seul, de décider une majorité de lecteurs à tendre la main vers le bouquin, même si, comme moi, on lit fort peu d'essais ou de textes censés développer une réflexion quasi obligatoirement hyper tortueuse concernant des thèmes auxquels, le plus souvent, on n'a jamais songé... au grand jamais !

Alors j'ai tendu la main, j'ai commencé à lire... et je me suis arrêté à la page 348, la dernière. Et je vous le dis en confidence : la dernière fois que ça m'est arrivé, j'étais nettement plus jeune !

En fait, j'ai découvert au fil des pages un recueil de textes relativement courts mais plus que malins. Presque rien à raconter, mais tout à réfléchir, à propos de moments ou de situations de l'existence auxquels, c'est vrai, je n'ai pratiquement jamais songé. D'où l'intérêt de cette découverte.

Un intérêt sous-tendu par l'extrême variété, l'originalité, l'intelligence du propos, assaisonné - ce qui ne gâte rien - avec une bonne dose d'humour. Le genre de bouquin au terme duquel on a l'impression - peut-être fausse - qu'on est plus malin qu'avant d'avoir commencé. Et dans cette collection, pour un prix très modique... alors...

Enfin, j'ai appris en cherchant à peine que Denis Grozdanovitch, l'auteur, a été un tennisman de haut niveau et, comme à chaque fois, je suis ravi de croiser la route d'un sportif qui a certes les jambes, mais aussi la tête bien faite.


 

 

 

 

13 juillet 2016

C'est le temps qui nous manquera... à tous...


J'ai tellement besoin de temps pour ne rien faire, qu'il ne m'en reste plus pour travailler.  

Pierre Reverdy.


 

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22 juin 2016

Des rencontres bien sympathiques.


Cappelle en Pévèle    

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Invité par Juliette Maillard-Sobieski, au nom de ses camarades, j'ai passé quelques heures bien agréables à la médiathèque de Cappelle-en-Pévèle, entouré d'une dizaine de vraies lectrices et de deux lecteurs fort attentifs.

Un soir de semaine, après le travail ce n'est pas si courant, et pourtant tous ces gens se sont déplacés et ont manifesté un intérêt et une attention qu'on ne rencontre pas toujours ailleurs.

J'ai présenté mes huit bouquins, ils ont écouté, questionné, le plus souvent à travers des interrogations fort judicieuses, et c'est mille fois mieux ! A la première occasion, j'y retourne avec plaisir...

Dédicaces, verre de l'amitié et même, au pied des murs et des meubles, la trace encore humide des dix centimètres d'eau qui se sont récemment invités au cours des intempéries. Décidément, rien n'a manqué. Merci à tous.

Quelques photos, pour le souvenir.

 

 

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22 juin 2016

Allez, philosophons pendant une minute...


Si tu sais : parle. Si tu ne sais pas : écoute.

Mais sache encore que ceux qui savent savent bien qu'ils ne savent rien.                                    

Très juste, Auguste !


 

                                                                                                                                  

 

12 juin 2016

Damoiselle I...


le-dormantastiqueNon, non, n'y comptez pas, pas de nom, pas d'adresse, et encore moins de photo : pour la tranquillité de cette lectrice mineure, je l'appellerai Damoiselle I...

Pour un auteur quel qu'il soit, surtout lorsqu'il écrit presque exclusivement pour un lectorat d'adultes, il est toujours réjouissant de rencontrer un jeune lecteur, une jeune lectrice, qui apprécient ses bouquins. 

A chaque fois, c'est une fort belle rencontre, et d'autant plus belle qu'elle a le goût inimitable de la rareté. Sans doute moins de 3% de mes lecteurs sont mineurs. C'est vous dire !

Alors à Dormans, Damoiselle I... a ensoleillé mes deux journées. Lycéenne, elle est arrivée le samedi, avec sa mère, et en moins de deux minutes elle aurait bien acheté la moitié de mes huit bouquins... Celui-ci, et celui-là... regarde maman... qu'est-ce que t'en dis ?... La maman, réaliste, a freiné des quatre fers, mais la damoiselle a néanmoins acquis deux titres.

Manifestement, je venais de croiser une passionnée de lecture et, comme à chaque rare fois, je l'ai regardée comme on découvre l'un des derniers exemplaires d'ornithorynque au bord d'une rivière australienne...

Sauf que cette fois, Damoiselle I... est revenue le dimanche, moins de 24 heures plus tard, pour me dire qu'elle venait de dévorer les 330 pages de mon roman Sorti de l'ombre. Et elle ne tarissait pas d'éloges...

Depuis, elle me questionne par mails, je réponds, elle prépare le bac...

C'est toujours une rencontre exceptionnelle, je l'ai dit, mais qui a encore le mérite d'exister dans un monde où le superficiel finira peut-être par l'emporter, à moins que l'image ne réussisse à effacer progressivement le texte...

Quoi qu'il en soit, Damoiselle I..., ne changez rien.


 

 

11 juin 2016

Dame Silü de Mordomoire.


DameLes 04 et 05 juin, à Dormans dans la Marne, Virginie Goevelinger et son mari organisaient la seconde édition du festival Le Dormantastique, avec le concours de La confrérie de la carotte. Tout un programme pour un salon du livre fort sympathique.

J'y étais, et j'y ai fait, entre autres, deux magnifiques rencontres.

La première, avec la silhouette étonnante (voir la photo) et surtout la voix véritablement hors du commun de Dame Silü de Mordomoire.

J'étais en pleine discussion avec un lecteur, lorsque d'un coup, sans prévenir, une voix puissante s'élève dans la salle voûtée du château. Je lève la tête et je découvre, en chair et en os, la jeune femme représentée ici, dans cette tenue, le bâton noueux compris.

Une voix comme je n'en avais jamais entendu. Forte, vibrante, mais pure, aérienne, comme venue d'ailleurs, tombée de la lune dans une pluie de météorites... une voix qui en trois secondes a stoppé tous les présents dans leur élan. Bouche bée, scotchés, interdits...

Pas de mots, m'a-t-il semblé, et pourtant une sorte de phrasé ininterrompu, de mélodie enchaînée avec une aisance et une maîtrise rares. Non. Rarissimes.

Par la suite, j'ai appris que j'écoutais Dame Silü de Mordomoire, une elfe noire qui chantait des chants de l'âme, la magie d'un autre monde, une voix s'élevant vers les cieux... et tout à fait capable, l'espace de quelques minutes, de nous emmener avec elle...

Je n'oublierai pas de si tôt cette apparition, cette voix, la timidité apparente et la gentillesse de cette personne, lorsque j'ai pu échanger quelques mots avec elle.

Bon vent et mille succès à l'elfe noire Dame Silü de Mordomoire.

Silu


 

22 avril 2016

L'imagination est au pouvoir...

 


 

1507-1Décidément, de temps en temps il arrive qu'on tombe en arrêt sur un bouquin dont la recette a nécessité - entre autres ingrédients - 130% d'imagination.

Rarissime, moi je vous le dis !

Tous les matins, dans le RER de 6h27, Guylain Vignolles (pas de chance, ce gars : remuez un peu les syllabes et ça donne Vilain Guignol !!!) lit de sa plus belle voix des lambeaux de textes qu'il a arrachés de haute lutte à la redoutable Zerstor 500, cette dévoreuse de bouquins invendus capable de réduire en confettis et en un tournemain des dizaines de tonnes de livres, peut-être bien plus intéressants les uns que les autres...

Guylain pilonne, à longueur de journées et de vie, et il en vomirait bien tripes et boyaux, si chaque matin, dans son wagon, les passagers n'étaient suspendus à ses lèvres, attendant leurs lambeaux de littérature...

Peu importe l'histoire forcément tronçonnée, hachée menu, c'est le rite matinal que chacun attend, pour y puiser un peu de la force nécessaire à l'accomplissement de la journée.

Ainsi au fil des matins, des pages, des déchets en sursis, l'auteur nous amène à rencontrer une singulière galerie de personnages inattendus, truculents, pleins d'humour... comme on aimerait en connaître davantage.

Sans oublier cette foutue machine, ce monstre mécanique inventé par un monde de fous, que des milliers d'auteurs célèbres ou anonymes nourrissent quotidiennement pour tenter de satisfaire l'appétit insatiable des marchands de papier !!!

Un roman véritablement pas ordinaire. Que dis-je : un premier roman... qui laisse bien augurer de l'avenir.

Ne le ratez pas.


 

 

22 avril 2016

L'ELEGANCE... TOUJOURS L'ELEGANCE...


 

Comme c'est gentil d'être là ! Mais vous le voyez je reçois quelques amis, revenez un autre jour.

                                                                          Marie-Laure de Noailles.


                                                                                 

21 mars 2016

LIVRE PARIS.


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Miséricorde ! Quel barnum ce salon du livre de Paris !!!

Cette année, pour ma seconde participation sur le stand des éditeurs et auteurs du Nord-Pas-de-Calais-Picardie, au côté de Richard Albisser, responsable des Editions du Riffle, j'en ai vraiment vu de toutes les couleurs !

Oh, pas sur le stand de la région où chacun a tenté de présenter au mieux sa production, mais alors dans la salle aux allures de foirail du Sud-Ouest c'est le culte de l'apparence et du s'écouter parler, à tous les étages ! Celui de la vedette aussi, celle qui s'évertue à prendre la pose, sous son meilleur profil et dans la meilleure lumière... Et on est malheureusement bien loin du livre et de la littérature... si loin...

Vous croyez que j'exagère ? Je voudrais bien, mais non, malheureusement non... et encore, je me retiens...

Alors, surtout, que vivent les petits salons du livre, au fin fond des campagnes les plus obscures... là où des auteurs et des lecteurs anonymes se préoccupent uniquement des livres... et se moquent éperdument de l'apparence...


 

21 mars 2016

ON L'OUBLIERAIT PRESQUE...


Finalement, les livres se ressemblent énormément, c'est seulement le contenu qui change.

                                                                                             Je l'ai encore vérifié récemment...


 

9 mars 2016

ET EN PLUS IL EST SYMPA...


BussiC'est vrai qu'il a tout pour lui, c't'homme !

Non seulement il écrit des polars comme personne mais, en plus, il n'a vraiment pas à se forcer pour être sympa.

J'ai récemment eu la chance de lui parler quelques minutes, au cours d'une séance de dédicaces, à l'occasion de l'inauguration de la nouvelle Librairie Vauban, à Maubeuge, et c'est véritablement un gars qui ne se croit pas sorti de la cuisse de Jupiter... pas du tout.

A ma demande, il m'a expliqué que la moitié du temps de travail nécessaire à l'écriture d'un bouquin était consacrée à imaginer l'intrigue, dans ses moindres détails. Pendant six mois environ, dans toutes ses activités, il vit imprégné de cette recherche d'idées permanente, et il avoue ne pas savoir comment il réussit à échafauder des contenus aussi complexes et tortueux. Il sait seulement que, finalement, il y arrive.

Et quand je lui ai dit qu'il n'avait pas un cerveau comme tout le monde, il en a convenu, mais il a ajouté que si on le place devant un moteur de voiture il n'y connaît rien du tout.

En tout cas, moi je vous le dis, n'est pas Bussi qui veut.


 

18 janvier 2016

MAMAN A TORT.


9782258118621 M BUSSI

 

On m'avait dit le plus grand bien des romans de Michel Bussi, et pour essayer j'ai lu le premier qui m'est tombé sous la main.

Miséricorde ! Qui c'est ce bonhomme ??? Pas étonnant que ses bouquins se vendent comme des confettis...

Psychologie, suspense, polar... tous les ingrédients sont rassemblés pour que vous n'entendiez même plus quand on vous parle. Vous voyez le genre.

Ici, Malone, un gamin qui n'a pas encore trois ans et demi, ne cesse de répéter que sa mère n'est pas sa mère... Comment peut-il affirmer une chose pareille quand on sait que, très vite,  la mémoire d'un enfant de moins de trois ans ne conservera aucun souvenir ??? Une situation véritablement hors du commun, et une enquêtrice, Marianne Augresse, qui n'est pas sortie de l'auberge.

Une dernière remarque : en lisant disons les cent dernières pages, je n'ai pas cessé de me dire, à propos de l'auteur, que ce bonhomme n'a pas un cerveau comme tout le monde. Vraiment, il est monté à l'envers.

Bonne lecture à tous.


 

 

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